Désolé pour le titre, je ne savais pas trop quoi mettre, alors voilà, d'après ce que j'ai entendu sur d'autre forum, lorsqu'on fait un régime, il est bon de s'accorder un jour de liberté, une sorte de rebond glucidique quoi, mais est-ce réellement bénéfique pour le corps??(mentalement, ça ne peut être que bénéfique,c'est sûr, mais au niveau du corps?!)Autrement dit, est-ce que s'empiffrer juste une journée toute les 2 semaines environ peut-être malsain pour le régime ou au contraire bénéfique??
Moi je le fais, mais je m'empiffre pas de chocolat et de bonbons! Je m'empiffre de bonne choses jusqu'à ce que mon ventre soit plein. Alors côté moral ca va très bien puisque je me dis que j'ai craqué dans des trucs saint, et côté forme, je me sens très bien. Si ca peut t'intéressé, côté poids, je n'ai jamais prise du poids à cause de ces "craquages santé"
Justement, moi le truc, c'est que quand je fais ces craquages santé pour reprendre ton expression, bah c'est un peu de tout (genre frites, grec,... )
Bonjour, c'est la première fois que j'écris sur ce forum, pardon si je fais une erreur. je parcourais le forum et lorsque j'ai vu ton message, j'ai voulu te répondre et aussi je me suis inscrit. Tu dis: "faire des exceptions durant un régime". A mon avis, c'est très mauvais: a) faisons un parralèle avec le tabac: on fait de nombreux efforts pour se déshabituer et et une fois de temps en temps, on refumerait ? ça ne tient pas la route. B) dans un "régime", on mesure ses progrès. les écarts brouillent la mesure et donc on ne sait plus c) je pense que le corps est très intelligent et lorsqu'il lui manque qq chose, dès qu'il trouve ce quelque chose, il en fait un superusage, donc qq graisses aborbées en plus par exemple, auront un impact important et supérieur à ce qu'il serait en temps normal (je ne suis pas médecin, c'est juste une idée) d) ça rappelle un monde où la nouritture est différente, ça redonne envie de manger comme "avant" le mieux pour lutter contre cette envie de faire un écart est de se dire: "par rapport à ce que j'aimerais manger, si je suis raisonnable, ce que je vais absorber est peu de chose, donc autant l'éviter". mais ta question me conduit à faire une observation plus générale: c'est la notion de régime qui n'est pas bonne: faire un régime implique une exception, à mon avis, c mieux d'oublier l'idée de manger différemment, le "régime" doit devenir le menu de tous les jours et si on maigrssait trop, alors on mangerait plus, simplement pour se nourrir. si le régime est vécu comme une contrainte, à mon avis, il échoue sur le long terme, il doit être vécu comme un renouveau. bonne journée frédéric
Si vous craquez c'est tout qui mis à la poubelle. Donc le fondamental c'est comprendre pourquoi vous craquez. En s'autorisant un jour boulimie, c'est le régime qui se dilue, c'est la partie phychologique comportementale qui est mis de travers; le vrais problème phychologique trouve sa réponse habituel dans l'alimentation, mais pas dans une autre solution. Régime + craquer = régime yoyo accélerez
Justement, moi je ne craque pas quand je fais un régime, ça va de ce côté là, mais sur plusieurs forums de musculation, il était dit que une fois par semaine voir toutes les deux semaines il était bénéfique d'augmenter le nombre de calories que celle prise durant le régime, histoire en gros de tromper le corps pour relancer en quelque sorte ce régime, donc voilà, je me demandais si c'était réellement bénéfique (ce que je ne pense pas trop d'ailleurs). Sinon, c'est vrai , le terme régime est mauvais, mais étant obèse il y a de ça 4 ans, on a pas le choix, pour maigrir, faut moins manger, ensuite, quand on veut atteindre un certain niveau de masse graisseuse, mais si l'on est pas obèse ou en surpoids, je pense qu'il est adéquat de faire un régime... Toutefois, je pense qu'une fois que j'aurai atteint mon objectif (être assez sec, avoir un ventre plat et une peau pas trop détendu), je ferai réellement super attention à la nourriture de part la suite. B)
Ceux qui pratique la musculation on un double objectif, prendre du poids en muscle, et perdre du poids en graisse. L'objectif muscle étant plus important les écarts sont secondaire devant les tonnes de fonte a soulever toutes les semaines. Etre complètement sec c'est pour les championnats pour quelques semaines seulement. Menu blanc d'oeuf + haricot vert en permance. Prenons un extrème, Mr Dorian Yates Mr Olympia de 92 à 97. Quelque semaines avant un championnat, Il se pesait 3 fois par jour, et pesait tout ce qu'il mangait. Il prévoyait d'avance sont poids de graisse si il faisait un micro écart. Mais très difficilement son poids de muscle. En clair il avait une parfaite maitrise de masse graisseuse. Tromper le corps, pour sur avec changement de machine et de mouvement pour les bodybuilders. Donc pourquoi pas avec un écart de ration alimentaire différente mais toujours pour le cas d'un bodybuilder. Mais pour quelqu'un qui veut simplement perdre de la masse graisseuse un écart à peu de chance d'être bénéfique. Surtout au niveau phychologique comportementale. Le seul bénefice c'est au niveau phychologique de l'individu qui est content car il a comblé le problème phy latant. "pour maigrir, faut moins manger". Surtout il faut manger mieux , et trouver pourquoi on a grossi. Bon courage.
Merci pour tes encouragements. Je tenais justement à dire que je fais un peu de muscul (3 fois par semaine) et beaucoup de cardio (6 fois par semaine). Sinon, j'ai grossi, j'ai compris pourquoi, je suis de nature à prendre facilement du gras, alors imaginer un gosse de 10-15 ans ne pratiquant aucune activité physique, super fainéant, et mangeant à gogo (eh oui, j'adore manger, surtout les cochonneries ).Eh bien le résultat est simple.J'ai compris la cause, c'est pourquoi j'espère ne plus jamais retomber dans l'obésité.
Je fais des écarts en permanence à mon régime :-( en gros deux gros écarts par semaine Depuis que j'ai repris mon régime (un mois), mes écarts se passent de la façon suivante: - une journée "fête" où je fais des écarts non contrôlés (genre mariage, enterrement, anniversaire pendant lesquels je ne maitrise pas mon alimentation parce que je ne peux pas la maitriser) En fait, je contrôle relativement bien finalement. Par contre, si je prends très peu de dessert, j'en prends quand meme un peu et je repars dans le désir du sucré. - la journée d'après, c'est le craquage total. Je m'en veux d'avoir pas fait ce qu'il fallait, je suis perdue dans mon régime, je sais plus ce qu'il faut manger et je m'empiffre Si je pars faire du sport, j'arrive à revenir ensuite à une situation plus saine. Si je tiens bon le reste de la semaine, je reperds du poids... Bon, là c'est une catastrophe... et je déconseille furieusement... mais comment gérez-vous, vous, toutes les situations (nombreuses pour moi!) où vous ne contrôlez pas ce que vous mangez? J'ai la cruelle impression de manquer de volonté.
Bonjour j'ai fait une mauvaise maneouvre je crois, je n'ai pas l'habitude des forum ce que tu évoques: le jour de l'écart, tu contrôles à peu près et le jour suivant, tu craques totalement est quelque chose que je connais. ce n'est pas tant l'écart que l'on fait qui cause un problème en prenant du poids mais le fait que psychologiquement il faut rrerendre en main tout le processus. il est quasi impossible d'avoir une vie normale et de manger d'une façon qui sort de la norme. refuser de boire de l'alcool est souvent délicat, entre amis... Pour pouvoir vivre comme je veux au plan alimentaire, j'ai dû consentir bcp d'efforts au plan social, j'ai maintenant 60 ans, ça me pose moins de problème, mais plus jeune, c'était difficile. mais je n'avais pas le choix, c'était ça ou devenir très gros, ma mère était obèse. j'ai commencé à manger différemment à partir de l'age de 40 ans, à mon bureau, j'emportais ma nourriture car dans les restaurants "bon marché", il était impossible de manger comme je le souhaitais. Lors de mes déplacements professionels, j'achetais de la nourriture et je la mangeais dans ma chambre... j'avais une amie qui acceptait de vivre comme moi mais à la fin, ça a posé des problèmes. Pour me reprendre en main, j'utilisais comme toi le sport. Quand je travaillais, je faisais 3.5 kms tous les matin vers 5H30 et quand je voyageais, j'emportais mes affaires de sport. le sport était pour moi le seul moyen que j'avais trouvé pour pouvoir me tenir le cerveau en ligne avec ce que je voulais ; à un moment, au début du changement, j'ai fumé, mais après j'ai arrété. rester "mince" ou simplement être normal lorsqu'on a une hérédité défavorable est un combat terrible. Maintenant, n'ayant plus de contrainte, j'ai découvert quelque chose d'extraordinaire: si on ne fait jamais d'écart, mais JAMAIS, on se déshabitue progressivement des nourritures que l'on ne veut pas manger et on ne les désire pas. Il y a qq années, j'avais souvent un sentiment d'insatisfaction après un repas, tandis que maintenant, j'ai un bon sentiment de confort, je me sens bien. Je coure 45 minutes chaque jour, environ 6 kms, je fais 45 mns de gymnastique chez moi et je passe un temps "infini" à m'occuper de ma nourriture, je veux avoir une satisfaction déjà en préparant le repas. Mais je ne mange jamais des choses trop bonnes, par exemple un bon poisson, car (indépendamment du fait que ça coûte cher) je ne veux pas m'habituer à la bonne vie, de peur de chuter ensuite. courage, une fois le bon cap choisi, c'est juste une question de mettre un pied devant l'autre, juste ça et on avance. frédéric
Peut etre tout simplement que ce n'est plus une question de volonté et que la solution n'est peut etre pas un régime.... voila, c'était le père fouras qui parlait...
c'est vrai que pour reprendre ensuite, psychologiquement,c'est dur, je confirme!! Personnellement,j'ai arrêté mon régime pendant quelque temps, et bon, je pense de plus en plus que le mot régime n'est pas tout à fait adapté, ce qu'il faut,c'est réapprendre à se nourrir, car après se priver, ça redonnera tot ou tard envie de remanger ses bonnes choses,donc effet yoyo ou cercle vicieux... En tout cas, en ce qui concerne les situations où tu ne peux pas controler ton alimentation, mange juste à faim, car j'avais entendu je ne sais plus où que si l'on mangeait à notre faim, on n'avait peu de chance de grossir...