il est même nécessaire d'en consommer plus (en cas d'activités sportives) les sucres lents (riz,pâtes ,blé complet) permettent aussi de réguler le taux de glycémie. peuvent ils nous empêcher de mincir? :huh:
bonjour, les sucres dits lents ne sont pas si lents que ça! http://www.montignac.com/fr/surces_lents_sucres_rapides.php 25 % du total des glucides idéalement pour les sucres d'absorption plus rapides. Se renseigner sur aliments à IG bas et comment améliorer l'IG: Je t’invite à aller lire : « Régime IG minceur » http://forum.doctissimo.fr/nutrition/alime...et_158145_1.htm PS: Allez au-delà de la notion de régime. Pensez équilibrage alimentaire, glycémie …
l'index glycémique est peut être à prendre avec précaution la pastèque a un IG elevé le riz (nature) egalement et pourtant je ne crois que les pays asiatique souffrent autant de surpoid et d'obésité que les pays européens et américain.
L’index glycémique n’est pas l’élément déterminant ; c’est la charge glycémique. L’IG de la pastèque (melon d’eau) est de 72 mais sa charge glycémique (CG) pour une portion normale de 120 g est de 4. Ce qui est très bien. Quand à l’exemple du riz glutineux, essaye un peu de comparer l’alimentation d’un paysan chinois ou vietnamien avec un citadin américain travaillant dans un bureau ! Ce n’est pas un aliment qui est responsable du surpoids mais le mode de vie sédentaire et l’excès de nourriture inappropriée : Regarde la composition du cheese burger et tu comprendras que c’est une ineptie. Bon, maintenant il y a toujours des cas particuliers : dérèglement du métabolisme et / ou manque d’enzymes pour assimiler tel type de nourriture. Là, ce sera plus difficile … Mais il est certain aussi qu’un individu sain (bonne condition physique), sous la quarantaine, peut se permettre de manger deux fois du riz par semaine, des pdt et des pâtes blanches bien cuites, tant que son pancréas suit. Quand il lâchera à 60 ans et chopera du diabète de type 2 (20 % de diabétiques qui s’ignorent), il sera malvenu de demander pourquoi ! On connaît tous autour de soi un fumeur invétéré qui est mort à 80 ans. Libre à toi de jouer à la roulette russe. Personne ne conteste la nocivité du tabac et pourtant … Qu'est-ce que l'index glycémique ? L'index glycémique (IG) permet de classer les aliments en fonction de l'élévation du taux de glucose sanguin qui survient après qu'on les ait consommés. Quand l'index glycémique dépasse 50, l'aliment est considéré « hyperglycémiant », c'est-à-dire qu'il entraîne une sécrétion importante de l'insuline et cause le stockage du glucose excédentaire sous forme de graisses. Sont classés hyperglycémiants, par exemple, le riz à cuisson rapide (85), le pain blanc (70) et les bananes (60). Parmi les aliments à faible index glycémique, on retrouve les flocons d'avoine (40), les figues sèches (35), les haricots verts (30). Évidemment, on n'a pas à se soucier de l'index glycémique pour tous les aliments qui ne contiennent pas de glucides, comme les viandes et les poissons. Les variations de l'index glycémique Un même aliment peut posséder plusieurs cotes d'index. Prenons l'exemple d'une céréale, disons le blé : plus la taille de la particule alimentaire (grain de céréale moulu) diminue et plus l'index glycémique augmente. Conséquemment, le pain de blé (fait d'une fine farine) possède un index plus élevé que les pâtes (faites de semoule). Un traitement industriel comme la précuisson élève aussi l'index glycémique d'une céréale. Mentionnons également que diverses variétés d'un même aliment peuvent posséder des index glycémiques différents. Qu'est-ce que la charge glycémique ? Concept relativement nouveau en nutrition, la charge glycémique (CG) complète à merveille l'index glycémique, car elle tient compte de l'effet « antiglycémiant » des fibres alimentaires présentes dans l'aliment en question, ainsi que la quantité des glucides et de fibres dans une portion. La charge donne donc la quantité de glucides dits « disponibles » dans une portion : le total des glucides dans l'aliment moins la quantité de fibres alimentaires. Une pomme, par exemple, contient 20 g de glucides totaux et 2,5 g de fibres alimentaires n'a plus que 17,5 g de glucides disponibles et une charge glycémique de 5. Ainsi, même si le melon d'eau a un index glycémique très élevé (72), sa charge glycémique pour une portion normale de 120 g est de 4. En contrepartie, des aliments contenant peu de fibres ont une CG élevée, comme le tapioca (75) ou la farine blanche (4. Tandis que l'index glycémique donne la mesure de la qualité des glucides, la charge glycémique considère la quantité de ces glucides dans l'aliment, ce qui est plus précis. À la question « Cet aliment fait-il augmenter la glycémie? », voici les réponses que vous trouverez dans les fiches de notre Encyclopédie des aliments : -non : l'aliment ne contient pas de glucides; -un peu : sa charge glycémique se situe à 10 ou moins; -modérément : sa charge glycémique se situe de 11 à 19; -fortement : sa charge glycémique se situe à 20 ou plus. Choisir ses aliments selon l'IG et la CG Il est bien évident que les aliments à IG élevé et qui ne contiennent pas beaucoup de fibres alimentaires sont susceptibles de déséquilibrer la glycémie. La consommation à long terme d'une diète riche en aliments à IG élevé est associée à une augmentation du risque de diabète de type II et de maladies cardiovasculaires. Par ailleurs, les aliments à index glycémique faible rassasient mieux, ce qui permet d'éviter d'avoir toujours faim ou de trop manger. Chez les sportifs, on observe une efficacité énergétique plus longue lorsque l'effort physique suit un repas à index glycémique bas (comme les légumineuses), par rapport à un repas à index glycémique élevé (comme les pommes de terre). À l'inverse, ce sont les aliments à index glycémique élevé qui favorisent la récupération rapide après l'effort. S'il est intéressant de se fier sur l'index et la charge glycémique d'un aliment, il ne faut pas oublier que, au cours d'un repas, on ingère en même temps plusieurs aliments dont les index diffèrent. Il faut aussi savoir que les protéines et les lipides, comme les fibres alimentaires mais dans une moindre mesure, diminuent l'index glycémique. Il faut en conclure que le fait de manger équilibré, c'est-à-dire des aliments de chacun des quatre groupes alimentaires à chaque repas, est une bonne façon de gérer son efficacité énergétique. Source : recherche et rédaction : Hélène Baribeau, M.Sc., Dt.P., nutritionniste, et Lucie Dumoulin PS : Je suis d'accord avec ceux qui sont contre la dictature de l'IG. Il faut en tenir compte, pas se laisser diriger! Un exemple : Je ne bois plus du café que par envie, pas par habitude. idem pour le coca cola. Je bois de l'eau (ou une tisane) par habitude et je prends occasionnellement une cannette de cola au distributeur ...
j'ai rien contre cette théorie qui a des aspects interessants mais pour moi le riz blanc , les pates bien cuites restent des sucres lents et sont sans danger (meme si le blé complet ou l'avoine reste meilleur) contrairement aux gourmandises ou aux crèmes glacées sucré ...(sucre rapide brut). le riz blanc bien cuit , glutineux , les pommes de terre à l'eau restent meilleur que nos frites grasse et nos boissons hyper sucrés (sucre brut) donc un bon riz avec du soja , des petits légumes à coté avec une viande blanche reste idéal le riz est un aliment indispensable dans les cultures asiatiques (il remplace le pain) et ne fait pas grossir. d'ailleur je pense pas que le pain fasse grossir aussi car dans le passé les francais mangaient beaucoup plus de pain (blanc) et n'etaient pas plus gros qu'aujourd'hui. le pain reste un sucre lent (meme blanc)
A 5' près, cela ne change pas grand chose au niveau de la vitesse d'absorption, passé la 1ère demi-heure; identique après 75'. Test effectué sur des poly- di- et mono-saccharides. B) Un petit rappel sur les types de sucres: Sucre simple Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Nestor Les sucres simples sont des hydrates de carbone ou glucides simples, du type monosaccharide ou disaccharide. Les monosaccharides sont principalement le glucose, le fructose, le galactose, le mannose. Leur molécule, un hexose (qui comprend 6 atomes de carbone), n'est pas hydrolysable(càd soluble dans l'eau), ce sont les sucres les plus simples. Les disaccharides ont une molécule formée par la réunion de deux monosaccharides. Les plus connus sont le saccharose (= le sucre blanc de betterave, appelé aussi sucrose par les canadiens), le lactose, le maltose. Cette molécule se décompose par hydrolyse en deux sucres simples ; par exemple le saccharose se décompose en glucose et fructose. Dans les fruits on retrouve par exemple ces trois derniers sucres (fructose, glucose et saccharose). Toutes ces molécules, facilement assimilables par l'organisme, sont dites « sucres rapides ». La molécule des polysaccharides est formée par la réunion d'un nombre élevé de molécules de sucres simples. Par exemple, l'amidon et la cellulose sont des polymères du glucose (par exemple l'amidon des pomme de terre). Ce ne sont pas des sucres, mais leur décomposition au cours de la digestion libère progressivement des sucres simples. Pour cette raison, les aliments à base d'amidon sont appelés « sucres dits lents ». (Mais certains sucres ne sont pas si lents que cela! Cela dépend de la proportion d'amylopectine et d'amylose. Ainsi, le riz long grain Basmati contient davantage d'amylose que dans le riz glutineux, ce qui prend plus de temps lors de la digestion / assimilation, ce qui en améliore l'index glycémique, ndlr). Chez l'homme, tous les polysaccharides ne sont pas assimilables comme l'amidon ; ainsi la cellulose n'est hydrolysable en sucres simples que chez certaines espèces xylophages (telles les termites et certains champignons) synthétisant des enzymes digestives spécifiques.